mercredi 1 octobre 2008

<< Qu'ils mangent de la brioche ! >>

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Alors j'ai mis mon petit grain de sel à l'histoire. Si vous saviez comme elle est devenue amère après ! Maintenant je grimace constamment à cause de ce goût qui s'entête à rester dans ma bouche pour me dire : "Souviens-toi de ta faute". Mais quelle putain de faute ? Celle de passer sous silence une chose qui crève les yeux ? Maiis ! J'avais le droit de tenter de la cacher, cette parenthèse enchantée, parce qu'elle n'appartenait qu'à moi, dans le fond ; toi t'étais déjà plus ou moins dissout, et toi aussi.



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